BRANDEVILLE
Les bâtiments communaux
    La grande arcade romane (XIIe siècle) et l'ancien Bureau de Poste sont les parties les plus anciennes du Château de Brandeville. Mais tous les bâtiments, entre les deux allées : la Grand-Ruelle et l'allée qui mènent au chemin des vignes faisaient partie du château de Brandeville : four et pressoir banal. Ici, habitèrent Mlle Maria GÉRARD ; notre tante Marie LEJEUNE née ADELINE ; M. Vital GUILLAUME, avant son mariage. Cette maison était surélevée, précédée d'un escalier de pierre.

    Le château de Brandeville fut habité, jusqu'en 1793, par l'illustre famille de Clermont-Tonnerre. Le château possédait une chapelle, dans laquelle fut célébrée l'union légitime de François de ClermontTonnerre et d'Isabelle, fille du comte de Mercy, résidant au château de Joppecourt. Après avoir refusé d'émigrer, M. et Mme de Clermont-Tonnerre décidèrent de quitter Brandeville ; on ne devait plus les revoir. Ils s'embarquèrent pour les EtatsUnis, le 15 mai 1793.
    L'église paroissiale, dédiée à saint Martin avait une grande valeur, non par son style, mais par le mobilier et la statuaire. Il advint qu'un curé de Bréhéville, desservant Brandeville fut appelé « le démolisseur », parce qu'il toucha à ce mobilier, supprimant la table de communion, et surtout la chaire de Vérité, que les paroissiens estimaient beaucoup, à cause de ses sculptures de bois. Ce prêtre oubliait que, depuis la Séparation de 1905, l'église et son mobilier appartenaient à l'Etat, donc à la Commune. Il eut suffi que le maire et son conseil disent non, et la destruction n'aurait pu se faire. Les magnifiques statues de bois auraient été respectées.

   L'auteur a oublié de faire le récit de plusieurs faits historiques qui se déroulèrent pendant la grande Révolution, du point de vue national et local.

    Depuis le printemps de l'an 1792, Louis-François de Clermont-Tonnerre était fiancé à Isabelle, fille du comte de Mercey, résidant au château de Joppecourt. Pour que le mariage soit célébré, la famille attendait « des jours meilleurs ». Des deux côtés, l'âge était acquis : LouisFrançois avait atteint ses 26 ans. Isabelle avait 18 ans. « Les jours meilleurs » seraient très longs à venir : la Révolution allait vers ('abîme, déjà on mettait en doute l'autorité du roi Louis XVI et aussi de l'Eglise. La Révolution ne tarda pas à devenir antichrétienne. Bientôt, elle exigea des prêtres le serment de fidélité à la loi scélérate qui coupait l'Eglise de toute relation avec le pape. Il y eut alors deux clergés : les prêtres jureurs et ceux qui refusèrent de prêter serment à la « Constitution civile du Clergé ». Le pape Pie VI n'accepta pas cela : Pie VI fut arrêté par les émissaires de la Convention, hommes qui se saisirent grossièrement de lui. Le pape fut interné en France à Villers-Colmars, localité des Alpes de Haute-Provence. Mais les bons catholiques de France protestèrent malgré le danger réel d'être punis pour les « Citoyens » qui n'étaient pas d'accord avec le gouvernement de la Convention nationale. Dieu ne cessa de veiller sur le pontife persécuté. Les gouvernements passent ; Dieu et son Eglise demeurent. Le pape reçut, en Provence, de multiples témoignages de respect et de fidèle attachement. Quand l'heure de la fin de la Révolution sonna, Pie VI fut libéré des geôles et reçu en triomphateur à Rome, la Ville éternelle.


    Louis-François de Clermont-Tonnerre refusa les services d'un prêtre assermenté. Il connaissait très bien un prêtre resté fidèle à l'Eglise, et c'est à lui qu'il confia son projet de mariage. Mais, pour assurer la sécurité de ce prêtre, les choses se feraient de la façon la plus secrète : aucune invitation ne serait envoyée. Seuls, les membres des deux familles seraient présents, pour accompagner les deux jeunes gens. Louis-François avait prévu les deux témoins indispensables.
    Le prêtre « réfractaire », anciennement curé de Thonne-le-Thil, près de Montmédy, se faisait appeler : « le père André ». C'était un prêtre à qui le Seigneur avait donné une intelligence supérieure. Elle lui avait servi pour acquérir une érudition remarquable. Il ne manquait pas non plus des deux qualités nécessaires à la vie qu'il menait : le courage et l'habileté. Il devait se dévouer longtemps, au péril de sa vie.
    La Révolution devait prendre un tour très violent, dans les journées des 1 et 2 septembre 1792, où furent assassinés, quelques milliers.
    Selon Danton, il fallait, avant de combattre les ennemis de l'extérieur, supprimer « les ennemis de l'intérieur ». Danton ne devait pas tarder longtemps à payer de sa vie, sa cynique cruauté.
    Mais, toujours en septembre 1792, la France était attaquée et envahie par les ennemis de la Révolution : Autrichiens et Prussiens ligués contre elle. Les villes de Longwy et Verdun tombèrent entre leurs mains. Les choses étaient très graves. Aussi, le 15 septembre 1792, l'Assemblée Législative décréta la « levée en masse ». Nous dirions aujourd'hui «la mobilisation générale ».


Louis-François de Clermont-Tonnerre était toujours le colonel du 150e Régiment d'Infanterie, basé à Verdun, qu'il avait acheté, selon la coutume de l'Ancien Régime. En raison de la guerre, le régiment était cantonné au village de Regret, sur la route de Verdun-Bar-leDuc, puisque Verdun était aux mains de l'ennemi. De Longwy, les armées prussiennes et autrichiennes s'avançaient, dangereusement, en Champagne. Les armées françaises, et même le 150e Régiment d'infanterie se réunirent près de la petite ville de Rethel, dans les Ardennes, mais elles n'y restèrent pas longtemps, car il était urgent d'arrêter l'ennemi et de l'empêcher de marcher sur Paris. La rencontre des deux armées devait se faire dans un lieu inconnu de la plupart mais qui devait devenir très célèbre, Valmy... C'est près du moulin de ce village que
devait avoir lieu la sanglante bataille. Le choc fut terrible. Les soldats français eurent, d'abord, le dessous, mais ils furent tellement encouragés, excités par leurs officiers que les soldats alliés reculèrent ; et, vers 5 h après midi, la victoire sourit à la France. Les soldats du 150e R.l. avaient combattu à l'aile gauche, et leur colonel les félicita. L'ennemi, vaincu disparut, et on ne devait plus le revoir avant longtemps. Le nom du général Kellerman fut gravé sur la porte du moulin de Valmy. La victoire de Valmy fut remportée le 21 septembre 1792 : la Révolution triomphait. Dès le lendemain, l'Assemblée Législative se séparait, remplacée par la Convention Nationale. Bientôt ce sera le régime affreux de la Terreur.

Le premier travail de la Convention fut de mettre en jugement le roi Louis XVI. Dès la fin septembre, la famille royale fut internée dans la prison du Temple.

La guerre étant terminée au moins pour un temps, Louis-François de Clermont-Tonnerre put rentrer à Brandeville et s'occuper de son projet matrimonial. Quelques jours après la bataille de Valmy, il se rendit à Joppecourt, pour y revoir Isabelle, sa bien-aimée et ses parents et leur demander la main de leur fille, ils auraient désiré des temps plus sereins, mais Louis-François était pressé. D'ailleurs, il prévoyait la captivité et la mort du roi Louis XVI. L'infortuné Roi de France fut guillotiné le 21 janvier 1793.





L'incendie de Brandeville
    Il éclata dans la nuit du 1er au 2 février 1771. Quelques personnes s'étaient réunies pour fêter la Chandeleur, manger des crêpes et boire du bon vin de la vigne de « voie de Verdun ». Le feu ronflait dans l'âtre. Vers 10 h et demie du soir, un homme que l'on n'attendait pas vint frapper et entra dans la cuisine des Rouyer. Il salua et dit « De grandes fIamèches sortent de votre cheminée. J'ai voulu vous en avertir ; je vous conseille ne plus pousser votre feu. » Mais personne n'écouta cet homme qui, hélas, prévoyait un grand malheur. Le feu se déclara dans les greniers remplis d'un foin très sec, puis bientôt dans toute la maison Rouyer, et ce fut le « sauve-quipeut ». Que pouvaient faire les gens, sinon de jeter quelques sauts d'eau dans les flammes. En quelques heures, tout le quartier fut embrasé. Les habitants eurent la présence d'esprit de lâcher leurs chevaux, leurs vaches et leurs
chèvres. Les enfants ne pâtirent pas du feu on les avait réveillés. Personne ne put dormir ; d'ailleurs, cuisine et chambres avaient été détruites par l'incendie.
    Quand, le matin, les femmes virent leurs maisons en ruine, elles pleurèrent toutes les larmes de leurs yeux : avoir été si heureux, et maintenant, le grand malheur les étreignait


    Le substitut de l'intendant fut reçu à Brandeville par le premier échevin, appelé le bourgmestre, le 20 mars qui suivit l'incendie. Il donna l'ordre de construire le village, non plus dans la vallée, mais à flanc de coteau. Cet ordre fut docilement obéi. L'architecte Marchant mit tous ses soins à dessiner le plan du village de Brandeville. Il avait prévu la première place pour l'église Saint-Martin, avec bâtiments communaux, proches de l'église. L'architecte avait trouvé une bonne équipe de maçons, charpentiers, couvreurs, dans le village de Thonne-leThil, près de Montmédy. Les travaux furent menés rondement, « vite et bien », c'était sa devise.
    Dès le printemps 1824, sous le règne de Louis XVIII, M. Marchant posa la première pierre de l'église. II voulut celle-ci vaste, en raison du nombre important d'habitants et de leur piété. Les paroissiens de tout temps devaient aimer et respecter leur église.
    M. Marchant alla à Damvillers, pour s'entendre avec le doyen Roussel sur le projet de la bénédiction de l'église par Monseigneur l'Evêque de Verdun. Le Doyen écrivit une lettre, demandant à Monseigneur de bénir l'église de Brandeville. La cérémonie eut lieu le premier dimanche après Pâques, 26 avril 1824. Tous les fidèles furent réjouis de cette fête. Mgr J.F. de Villen avait béni ses diocésains éprouvés.
    Le temps était venu, pour M. Marchant de construire les bâtiments. D'abord la mairie-école-1-, l'asile qui serait l'école maternelle, et l'école des filles, voisines du presbytère. On ne toucha pas au château de Brandeville, demeure traditionnelle de Clermont-Tonnerre.
    Le 28 avril 1824, les pierres de taille, provenant du chantier Duchatel de Mouzay servirent à la construction des bâtiments communaux. Deux cultivateurs s'offrirent pour charrier les pierres et les mettre à pied d'oeuvre. Les noms de ces
deux hommes furent gravés sur la pierre de la mairie, car la future mairie fut le premier et le plus important chantier ; elle était installée au le, étage. Au rez-dechaussée, ce serait l'école des garçons. Les élèves purent l'étrenner, dès le 1er octobre suivant, joyeux d'occuper une salle de classe toute neuve. M. l'Architecte ne s'arrêta pas en un aussi bon chemin. L'école des filles fut construite au commencement de la rue d'Argonne. Le bâtiment comporterait le logement de l'instituteur, appelé en ce temps-là : le maître d'école. A droite de l'école des filles ce serait le presbytère. Le curé desservant s'impatientait de ce que le travail trainaît en longueur. Le premier curé de Brandeville serait dans ses meubles avant la Noël 1826. Non loin du presbytère, mais de l'autre côté de la rue, il y aurait l'asile, devant servir d'école maternelle. Cet asile est devenu, en cette fin du XXe siècle, une salle des fêtes communale.

    La construction des maisons du village fut menée rondement. Des « pierres de seuil » portent encore les dates : 1823, 1825, 1827, 1831. C'était les années du roi Charles X ; la dernière, après la Révolution de 1830. Les fameuses ordonnances de Juillet coûtèrent son trône au dernier Bourbon ayant régné en France.
    Le village devait s'étendre de l'Est à l'Ouest dans une rue centrale, depuis la route de Murvaux jusqu'à la nouvelle route, en direction de Verdun. De la rue centrale sortaient deux petites rues, à droite de l'église, une rue menait à « la rue Pathé ». J'ignore pourquoi ce nom, mais elle donnait sur « le Culot ». En ce lieu pourtant étroit, j'ai connu trois fermes, mais aucune ne subsistait, en 1985. Des étrangers, exactement des Hollandais, avaient réparé ces maisons qu'ils habitent.

    L'architecte fit construire plusieurs fontaines qui donneraient l'eau potable au village : fontaine de la « petite ville »
fontaine de « la rue d'Argonne », aux premiers pas de la « nouvelle route ». Il mit tous ses soins à la construction de « la grande Fontaine » - lavoir muni d'une toiture en pierre, à gauche de l'église
deux autres au centre et au bout du village. Ainsi rien d'important ne manquait aux habitants de Brandeville. Vers 1960 l'eau de la Fontaine fut servie dans chaque maison du village.

    Saint Martin est le saint qui a le plus de villages qui lui sont dédiés, en France du moins. Un vitrail lui est consacré Martin, officier romain, partageant son manteau rouge, dans une porte de la ville d'Amiens,
en l'an 337. La nef latérale de droite de l'église est dédiée à saint Martin, autrefois à saint Vincent, patron des vignerons.

    On dit, souvent : « Les peuples heureux n'ont pas d'histoire. » Ce fut le cas pour Brandeville. Les gens y étaient heureux, se contentant du peu qu'ils avaient leurs vaches et leurs chèvres ; leurs jardins et leurs vergers, plantés de pruniers et de pommiers. Les Allemands, envahisseurs de la France, étaient totalement prêts à nous attaquer, puisqu'ils entrèrent chez nous au mois d'août 1914. Ce fut une très rude épreuve pour la Lorraine, et spécialement pour le village de Brandeville. Pendant le temps de la bataille des 28, 29 août 1914, tous les hommes - de 16 à 60 ans - furent enfermés dans l'église. Si les Allemands avaient été vaincus, ces hommes auraient été passés par les armes, c'est-à-dire fusillés. Les Allemands étaient déjà cruels, au début de cette guerre. Malheureusement, les Allemands gagnèrent la bataille.

    Depuis 1921, au dernier dimanche d'août, une émouvante cérémonie du Souvenir rassemble devant les deux tombes du cimetière ceux qui ne veulent pas oublier
Gloire à vous, Martyrs de la France
    Un peuple qui oublie ses morts n'est pas digne de survivre. »


    Certains habitants de Brandeville eurent l'idée de partir ailleurs ils firent bien ; ils n'eurent pas à subir un esclavage de quatre ans, car c'est bien ce mot qui convient. Tous ceux qui restèrent furent obligés de travailler pour les Allemands. Les vainqueurs avaient tous les droits et les Français n'en n'avaient aucun.


    Notre bien-aimé papa avait été mobilisé dès le 2 août 1914 : nous ne le reverrions que plus de quatre ans après. Nous apprîmes qu'un ménage de Triaucourten-Argonne l'avait pris en amitié et l'avait accueilli, au cours d'une permission, puisqu'il ne pouvait pas se rendre dans les territoires envahis.

    Après tant de combats sanglants, la victoire daigna sourire à la France. Les armées alliées avaient pu reprendre la ville de Saint-Mihiel, et marchaient sur Montfaucon. C'est le moment que choisirent les Allemands pour évacuer les habitants de Brandeville vers la Belgique. Pour des enfants, ce fut un voyage joyeux.
    C'est à Meix-devant-Virton que nous fûmes accueillis par des gens qui devaient devenir des Amis. Si longtemps après, nous ne les avons pas oubliés. Nos rapports épistolaires continuent avec leurs descendants. C'est à Meix que nous apprîmes la victoire finale des Alliés sur l'Allemagne. Après tant de peines, quelle joie! C'est là aussi que notre cher papa vint nous rejoindre, dans le courant de novembre 1918. Après quatre ans, je ne le reconnus pas. Quand il était parti pour la guerre, je n'avais que 2 ans. Nous pûmes rentrer à Brandeville entre le 20 et le 30 novembre 1918. Je me rappelle très bien que la pauvre Mémère, notre grandmère maternelle, pleura en regardant la première maison, venant de Louppy, victime d'un bombardement. Nous devions la perdre quelques mois plus tard, le 22 février 1919. Pendant longtemps le beau village se remit des années de guerre. Il fallait bien reconstruire, et papa reprit son métier d'entrepreneur et de maçon.

    Le curé Vauthier, revenu de son séjour au sud du département, rentra dans son presbytère en ruine. Il campa, comme on devait dire plus tard. Il vécut assez longtemps pour voir le carillon de l'horloge, indépendant des cloches, avec ses trois cadrans installés au clocher. Il mourut le 22 novembre 1926, en la fête de sainte Cécile. Les Allemands avaient volé les trois cloches, comme butin de guerre, en 1917. Les cloches neuves furent bénies le 2 août 1927. Un homme fut nommé par la commune comme sonneur, M. Victor Hucbourg, qui était très connaisseur de la musique. Il devait le rester jusqu'en 1941.
    Le gros oeuvre de l'église paroissiale Saint-Martin était resté intact, parce que l'armée allemande en avait fait un hôpital, mais elle avait besoin d'une bonne restauration. Celle-ci devait se faire attendre longtemps car les « Dommages de guerre » étaient une association très lente, et les bureaucrates n'étaient pas pressés. On put voir un mariage, qui fut célébré dans un chantier, celui de Cécile Jacques et de Maurice Fallet, le 22 mai 1928.
    Dans les derniers mois de vie de l'abbé Vauthier, les offices furent célébrés par l'abbé Ch. Tocquet, curé de Bréhéville. Après la mort de l'abbé Vauthier, l'abbé Tocquet fut, officiellement desservant de la paroisse de Brandeville, de 1926 à 1932, date où il fut nommé curé-doyen de Triaucourt. Ce prêtre fut d'un dévouement sans limite. Il aimait Brandeville et les paroissiens l'aimaient beaucoup. La paroisse de Brandeville lui doit les vitraux de l'église.

Les quatre premiers vitraux, deux du chœur et dans les nefs latérales furent bénis en la fête de Noël 1928. L'abbé Tocquet avait promis que la Messe de Minuit serait célébrée quand l'électricité serait installée dans l'église et, pour la joie de tous, il tint sa promesse. Les quatre derniers vitraux, ceux des deux nefs latérales furent bénis le 6 août 1929, au cours d'une messe solennelle célébrée par les prêtres du cours de l'abbé Tocquet.

    Ces vitraux marquèrent un progrès sur ceux d'avant la Première Guerre mondiale. Avant celle-ci, l'église de Brandeville ne connaissait que les vitraux du choeur - je parle des vitraux représentant des scènes de l'Evangile. En plus, il y eut en l'honneur des soldats tombés pour la France, spécialement les morts du combat de Brandeville, 28 août 1914.
    Le vitrail dédié à saint Martin porte ces quatre lettres:
«A.M.D.G. - Ad majorem Dei Gloriam ».
Le 17 septembre 1993 L. JACQUES

Remarque de M. Segalla sur le texte de L.Jacques.
1 NDR Les dates  ne semblent pas certaines.