Des
          inégalités devant la santé
      
      1•  Études de cas : les soins
          dentaires
      Comparaison de situation
      
      4 extraits vidéo pour comparer l'accès au soins dentaires
        — Dentiste de rue en Inde
        — Jeune dentiste au Canada
        — Extraction d'une dent dans une campagne Ukrainienne
        — Touristes soignés dans un hopital chinois
        Pour chaque extrait : 
        — Localisation : État, continent, milieu (rural/urbain/isolé) ,
        lieu précis (cabinet, hopital, rue)
        — Poulation concernée (personnes favorisés, défavorisées, classe
        moyenne)
        — Expérience ou formation du praticien
        — Matériel et techniques utilisées (fauteuil, outils,
        stérilisation, anesthésie)
        Cette présentation est complétée par les documents 2 et 3 de la
        page 201 du livre.
      
      Les indicateurs de santé pour les 6 pays concernés par les
        documents 
      
      Voir sur le site de l'OMS  : http://www.hcsp.fr/docspdf/adsp/adsp-08/ad080608.pdf
        Statistiques sur le site de l'OMS : http://www.who.int/workforcealliance/knowledge/data/fr/index.html
        Rapport complet sur le site de l'OMS :http://www.who.int/whosis/whostat/EN_WHS10_Full.pdf
        Pour trouver l'espérance de vie à la naissance voir page 47 du
        rapport.
        Accès à l'eau potable et accès aux soins page 100.
        Après avoir rempli le tableau on fait une synthèse.
      
      
        
          
            | Localisation | 
 | Poulation concernée | Praticien | Matériel et techniques | esp de vie
 
 | accès eau p
 
 | accès soins
 
 | 
          
            | Inde 
 |  | Défavorisée urbaine | Homme expérimenté | Dans la rue Réutilisation de la seringue anasthésie.
 pas de fauteuil, outils dentaires.
 | 64 ans 
 | 88% 
 | 31% 
 | 
          
            | Canada 
 |  
 | Favorisé pays développé | Formation universiataire Assisté d'une hygièniste
 | Ordinateur, gants,
              masques, fauteuil électrique, fraise (roulette) moderne,
              blouses. | 81 ans 
 | 97% 
 | 90% 
 | 
          
            | Ukraine 
 |  | Joyeux compères 
 | Homme adroit sans
              qualification | Pince universelle et
              alcool (anesthésiant et désinfectant | 68 ans 
 | 97% 
 | 90% 
 | 
          
            | Chine
                    urbaine 
 |  
 | Touristes de passage
              (surpris par le faible prix des soins). |  Chirurgien dentiste et assistant. | masques, fauteuil
              électrique, fraise (roulette), blouses | 74ans 
 | 98% 
 | 58% 
 | 
          
            | Chine
                    rurale 
 | Voir document 2 page 210 du livre
 
 |  Modeste : paysans?   | Homme expérimenté | Une fraise, le travail est
              fait à l'extérieur. | 74ans 
 | 82% 
 | 52% 
 | 
          
            | Royaume-Uni | Voir document 3 page 210 du livre
 | Aisée, accès au soins
              facile | Formation universitaire Assisté d'une personne
 | Ordinateur, gants,
              masques, fauteuil électrique, fraise (roulette) moderne,
              blouses | 80ans 
 | 100% 
 | 100% 
 | 
        
      
       
       (p200) A
        l'échelle mondiale, les indicateurs de santé (espérance de vie,
        taux de mortalité infantile, accès aux soins et à l'eau potable)
        n 'ont jamais été aussi bon. Toutefois, cette amélioration
        globale cache des inégalités devant la santé très importantes, à
        toutes les échelles. 
      
      
      2• Une pandémie
        : VIH
      Question 1 à 4 page 203 du livre
      
      
      Vidéo 1 : Journal de 20h - A2 - 2006Dans le monde : 
        39 millions de personnes séropositives
        24 millions en Afrique subsaharienne.
        130 000 en France et 7000 de plus chaque année
        2,7 millions de cas de plus dans le monde chaque année. 
        Vidéo 2 : site internet 
      
      
      2.1• Un virus particulier
       
       VIH : virus
        d'immunodéficience humaine 
       SIDA : syndrome
        d'immunodéficience acquise 
       Transmission :
        surtout par le sang (seringues ou rapports sexuels). 
       Séropositif :
        porteur du virus. 
       Il n'existe pas
        de vaccin.
      
      2.2• Limiter la propagation du VIH
        et ses effets
      
       
       rapports sexuels
        protégés 
       dépistage 
       traitement
        post-exposition
      
      Limiter l'apparition du SIDA
      Video : AfriqueSIDA.jpg
      
      
       Association de
        trois antiretroviraux qui inactivent le VIH 
      2.3• Intensifier la
        recherche médicale
      
       Dépistages plus
        simples et moins couteux. 
       Limiter les
        effets secondaires des ARV 
       Elaborer des
        "candidats" vaccins 
       3• L'accès aux
        médicaments
      Vidéo 1 : Le
          SIDA au Burundi
          Coproduction Etat d'urgence Production et IRD avec France 5 et
          TV monde.
        — Carte et localisation du Burundi
        — Témoignage d'une élève qui a découvert qu'elle avait le SIDA
        lors d'un cours de science en sixième.
        — La vie des malades dans le centre Thurio (repas, vie
        quotidienne et témoignages)
        — Interview de Jeanne Gapiya fondatrice de l'association ANSS
        (Association nationale de soutien aux séropositifs et sidéens).
        — La création et la vie de l'ANSS : la création d'un hôpital de
        jour
        — Témoignage des médecins : effets du traitement, dépistage,
        difficultés d'obtenir des médicaments.
        — Coût du traitement par rapport aux revenus des malades, la
        prise en charge par la solidarité familiale et les associations
        caritatives (AIDS).
        — Médicaments et droits sur la propriété intellectuelle de l'OMC
        (organisation mondiale du commerce). La protection des droits
        exclusifs de fabrication pendant 20 ans.
        — Explication de Philippe Pignarre auteur du livre « Le grand
        secret de l'industrie pharmaceutique »
        — Point de vue du Dr Bernard Pecoul, Directeur de la « Campagne
        d'accès aux médicaments essentiels »
        — Point de vue du Dr Jean-François Chambon secrétaire général
        d'une fondation GlaxoSmithKline (laboratoire)
        — Point de vue de German Velasquez économiste de l'OMS
        (Organisation mondiale de la santé).
        Les actions politiques, pour que les médicaments soient
        accessibles aux pays en développement : commission européenne,
        Seattle, Amsterdam, OMC et campagne présidentielle américaine de
        2007.
        — Interview de Harvey Bale directeur général de la fédération
        internationale de l'industrie du médicament.
      
       Aujourd'hui les malades peuvent être soignés avec des moyens
        efficaces, les séropositifs des pays riches ont accès aux ARV,
        mais seule une infime partie des Africains bénéficie de ce
        dispositif et le SIDA a tué plus de 20 millions d'Africains, sur
        42 millions de séropositifs en 2010, 30 millions vivaient en
        Afrique.
       Les ARV (médicaments Anti Rétro Viraux) qui stoppent les
        effets du SIDA coûtent très cher, car ils sont protégés par des
        brevets. Les pays africains n'ont pas le droit de les produire à
        bas coût (pour un malade les soins coûtent 12 000 euros par
        an).
       L'accès au soins varie en fonction du niveau de développement
        du Pays.
      Vidéo 2 : Information en français de la CCTV :
          télévision centrale chinoise
        — Annonce de la baisse de 12 % du  prix de 96 médicaments à
        usage quotidien (soit presque la moitié) par la présentatrice
        (chinoise).
        — Interview d'habitants satisfait de la baisse de prix.
        — Exemple des médicaments pour traiter les maladies
        cardio-vasculaires en baisse.
        — Rayonnages de pharmacies chinoises (qui ressemblent aux
        pharmacies européennes)
        — Les médicaments difficiles à trouver sont les seuls qui ont
        augmenté.
        — La nouvelle tarification est sans bénéfices pour les
        pharmaciens.
      
      En Chine l'État décide de baisser le prix des médicaments, les
        médicaments sont fabriqués sous le contrôle de l'État.
        L'accès aux soins peut dépendre des politiques mises en
        place par les États.
      Vidéo 3 : Reportage sur l'industrie pharmaceutique en
          Inde : Antenne 2 le 21 juillet 2009
        — progression de l'industrie pharmaceutique et des tests
        cliniques en Inde.
        — Présentation de Brijesh Régal fondateur de la clinique de test
        « Apothecaries » en banlieue de Delhi.
        — L'information et le recueil des consentements des « cobayes
        humains »
        — le tri des candidats payés par le laboratoire en fonction des
        maladies.
        — avec 1,3 milliard d'habitants , l'Inde permet de trouver de
        nombreux malades pour les tests, même si la maladie n'est pas
        courante (35 millions de diabétiques, 3 millions de cancéreux).
        — Interview d'une femme qui a testé une pilule contraceptive et
        qui a gardé de nombreuses séquelles : maux de tête,
        vomissements. La femme a fait les tests pour gagner de l'argent
        et n'a pas été informée des conséquences possibles.
        — Malgré une législation qui correspond aux normes
        internationales, l'Inde utilise la population pauvre et
        analphabète pour des tests.
        — Interview de Noor Jahen qui représente l'association des
        femmes musulmanes indiennes et qui dénonce les cancers de
        l'utérus et les maladies de la peau provoqués par les tests,
        elle accuse les compagnies étrangères de profiter de la misère.
        — Arnauld Miguet (envoyé spécial de France 2 à New Delhi) montre
        les sac de médicaments que l'on trouve en vrac sur les marchés
        en Inde, 400 tests humains sont en cours, l'industrie
        pharmaceutique pèse 800 millions d'euros en Inde.
      
      
      L'Inde est un pays producteur de médicaments, on y trouve de
        nombreux malades prêts à tester les médicaments.
      Vidéo 4 : Vaccination contre la grippe H1N1
          au collège Émile Gallé (Nancy), reportage de France 3
        — Des élèves disent ce qu'ils
          savent sur la grippe devant des journalistes et des membres du
          rectorat et de l'inspection académique.
        — une infirmière examine les
          autorisations signées par les parents et les carnets de santé.
        — on voit les affiches avec
          les consignes de sécurité : lavage des mains et port d'un
          masque buccal.
        — Interview de MM Clémens et
          Bicoche de l'inspection d’académie (écrit avec une faute)
        — entretien des futurs
          vaccinés avec le médecin qui étudie l'enquête complétée par
          les parents.
        — Interview du principal du
          collège : rythme de 7 à 8 vaccinations par heure.
        — l'infirmière fait la piqure.
        — Interview de deux
          enseignantes qui s'étonnent de ne pas avoir été sollicitées
          alors qu'elles s'estiment aussi exposées à la maladie. Elles
          regrettent que la vaccination soit faite dans l'urgence, que
          l'organisation soit lourde et que peu d'élèves se soient fait
          vacciner.
      Vaccination contre la grippe H1N1 dans un collège de France.
        L'épidémie n'a pas eu lieu mais on a appliqué le principe de
        précaution (ce qui peut coûter cher).
      Vidéo 5 : Reportage vidéo de l'AFP (agence France
          Presse) en Turquie
        — Patiente grecque qui fait un examen de la cornée dans un
        hôpital turc spécialisé dans les maladies des yeux. Stéfani
        Balasi, infirmière,  associe chirurgie et vacances en
        famille : c'est du tourisme médical, conseillé par des amis qui
        ont fait de même. En Turquie l'opération coûte 1000 euros alors
        qu'en Grèce, elle coûte 2500 euros. Les techniques utilisées
        sont très modernes : informatique et rayon laser. La main
        d'œuvre coûte moins cher en Turquie, le groupe hospitalier
        Dünyagöz est important, il a 10 hôpitaux et il peut ainsi
        réduire les coûts.
        — Gökhan Yugrucu manager des relations internationales des
        hôpitaux Dünyagöz explique qu'avec 150 docteurs, il peut
        négocier des prix d'achat de matériel très bas.
        — le ministère de la Santé turque espère en un an doubler le
        nombre de touristes médicaux (image de soins dentaires). Un
        centre de soins dentaires turc accueille une Parisienne qui a
        besoin d'implants, elle devra payer moins de 2200 euros au lieu
        de 4600 euros.
        — Interview de Mustafa Bese dentiste de la Ata Dental Clinique
        qui reçoit des patients allemands, britanniques et français
        (tout le monde a peur des dentistes) : le prix de l'intervention
        en Turquie redonne le sourire aux patients.
      
      Avec la mondialisation (les échanges de biens et de services
        dans le monde), le tourisme médical se développe.
      
      3.1• Recherche
        pharmaceutique et poids des brevets
       
       L'élaboration
        d'un nouveau médicament est coûteuse, les tests qui précèdent la
        mise en vente sont longs et doivent êtres effectués sur un
        nombre important de personnes, pour des raisons économiques ils
        peuvent être fait dans des pays à faible niveau de vie.
      
       
      Les découvertes pharmaceutiques sont protégées par des brevets.
        Dans certains cas, des personnes ne peuvent pas accéder aux
        soins car le prix de vente est très supérieur au prix de
        fabrication. 
      La recherche de médicaments se fait en fonction des marchés :
        il peut être plus rentable de trouver un médicament de confort
        pour les pays développés qu'un médicament de soin pour une
        pandémie des pays du Sud
       
      3.2• Politique
        de santé
       
       La politique de
        santé mise en place par un Etat ou par une organisation peut
        avoir une grande importance sur l'accès aux médicaments. 
       La Chine a décidé
        de baisser le prix des médicaments (fixés par l'Etat). 
       Des pays
        africains ont défini une liste de médicaments pour les
        dispensaires. 
       En France les
        médicaments vitaux sont entièrement remboursés.
      
      La vaccination
        permet de protéger une population face à une menace virale, elle
        peut être obligatoire dans certains pays.
      
       
       Les médicaments génériques sont des
          médicaments dont la formule (le brevet) est tombée dans le
          domaine public, il peuvent donc être produit par des
          laboratoires qui n'en sont pas les inventeurs. 
          Généralement, ils sont moins chers.
      
      DVD Fred et Jamy vous expliquent les génériques
       
      
      3.3• Des remèdes
        pires que le mal
       
       Les médicaments
        sont des substances chimiques souvent dangereuses, ils ne sont
        commercialisés que lorsque l'on en connait tous les effets.
      
       
       
      Document 2 page 204 et document 3 page 205.
      
      Dans un certain
        nombre de pays la vente des médicaments n'est pas contrôlée. 
       Le coûts des
        soins pousse des habitants souvent illétrés à pratiquer
        l'automédication. 
       Des commercants
        peu scrupuleux ou ignorants n'hésitentent pas à vendre des
        médicaments inapropriés. 
       
      4• Des
        inégalités face aux soins.
      
      Questions de la page 209
      
      4.1• Des
        améliorations dans le monde
      
       
      A la fin du XXéme
        siècle, l'espérance de vie à beaucoup augmenté, la mortalité
        infantile a fortement baissé. 
      
        - Taux de mortalité infantile
- nombre de décès d'enfants de un ans pour 1000 naissances
          vivantes de la même année.
 
4.2• Une fracture
        sanitaire
      
       
       
       Construction d'une carte
          thématique à partir des trois cartes des pages 206 et 207.
        
        Sur le planisphère, colorier en rouge les pays qui réunissent
        ces trois critères: 
        — moins de dix médecins pour 10 000 habitants 
        — une mortalité infantile supérieure à 30 ‰ 
        — une espérance de vie inférieure à 60 ans 
        colorier ensuite en vert les pays qui réunissent ces trois
        autres critères : 
        — plus de vingt médecins pour 10 000 habitants 
        — une mortalité infantile inférieure à 30 ‰ 
        — une espérance de vie supérieure à 70 ans
        Les autres États sont à colorier en orange, compléter la
        légende.
        Indiquer deux États étudiés en sixième qui ont été coloriés en
        rouge, et quatre pour les couleurs verte et orange.
      
      Les contrastes
        sont très importants entre les pays les moins avancés 
        (PMA) qui ne disposent pas d'infrastructures de santé
        suffisantes (hopitaux, dispensaires,  maternités, centre de
        soins, cabinets médicaux ou infirmiers) et les pays développés
        dans lesquels les frais de santé représentent une part
        importante du produit national (la richesse produite par le
        pays) 
        Dans les pays émergents on constate d'énormes différences entre
        les métropoles bien équipées (hopitaux de pointe) et les zones
        rurales dotées de rares dispensaires.
        La pauvreté est à l'origine de sousnutrition (famines), de
        pandémie (VIH, choléra, paludisme, tripanosomiase) dans les PE
        et PMA et de l'exclusion dans les pays développés dans lesquels
        on rencontre aussi des cas de malnutrition par surnutrition
        (obésité).
      
       
      4.3• Des
        organisations de régulation
       
       Sur les huit
        objectifs du millénaire fixés par l'ONU (Organisation des
        Nations Unies)  en 2000, quatre concernent directement la
        santé :
      
      Objectif 1 :
        réduire l'extrême pauvreté et la faim 
       Objectif 4 :
        réduire la mortalité infantile 
       Objectif 5 :
        améliorer la santé maternelle 
       Objectif 6 :
        combattre le VIH/SIDA, le paludisme et les autres maladies
      
      L'OMS
        (Organisation Mondiale pour la Santé) est chargée de veiller à
        la réalisation de ces objectifs grace à la mise en place de
        programmes de santé pour les PMA.
      
      De nombreuses ONG
        (organisation non gouvernepmentales) contribuent à l'aide
        médicale : Croix rouge, Médecins Sans Frontières (MSF), Santé
        Sud…
      
      
      
        - c
- p
        RESSOURCES
        Paludisme et développement
          durable en Afrique 
Paris
            
            DVD Fred et Jamy : les génériques
            
            
            Le dossier comporte dans ses rubriques :
            - Information scientifique : Les flux internationaux de
            personnel de santé, une illustration des inégalités de
            développement / Mobilités et accès aux soins des migrants en
            France / Lieux d’émergence et territoires de diffusion de la
            fièvre hémorragique à virus Ebola au Gabon et en République
            du Congo.
            - Corpus documentaire : Espaces et territoires du paludisme
            / L'organisation territoriale et la planification sanitaire
            en France (principales évolutions législatives et
            réglementaires du système de santé en France ; territoires
            de santé et planification sanitaire ; nouveaux territoires
            de santé auvergnats ; diagnostic et définition des
            territoires de santé, l'exemple de la région Rhône-Alpes).
            -  Géographie vivante : Expertise, gestion du risque et
            santé publique.
            - Un glossaire précise le vocabulaire employé, les notions
            et les connaissances, il organise les renvois aux contenus
            du dossier.
            Des contributions supplémentaires viendront enrichir le
            dossier dans les mois à venir. Un module de cartographie
            interactive (géoclip) sera proposé prochainement. 
          Ce dossier a été initié et
            coordonné par Virginie Chasles (université de Lyon, Jean
            Moulin Lyon 3, Équipe Santé Individu Société) et il a
            bénéficié des contributions de : Virginie Chasles, Clélia
            Gasquet-Blanchard (département EPI-Biostat, Ehesp,
            laboratoire Espace Santé et Territoires, université Paris
            Ouest), Anne-Cécile Hoyez, (UMR 7301 Migrinter, université
            de Poitiers), Clara Loïzzo (classes préparatoires aux
            grandes écoles, lycée Masséna, Nice), Sylviane Tabarly (ENS
            de Lyon / Dgesco).. 
            Pour accéder au dossier : http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actus/index.htm