Yvan et Eric,
employés communaux
restaurant le calvaire de la rue d'Argonne et la grande croix du chœur de l'église. |
|
En Juin 2009, Willy Cammaert, conseiller municipal, restaure bénévolement le monument au mort de la commune inauguré en 1925. |
Photos de Groupes
|
Les aubergistes1900 M. BRAIBANT à la petite ville |
|||||||
Le café
restaurant sur la route de Dun dans lequel se trouvent
deux grandes peintures murales, la première
représentant une bataille de 1870 et la seconde une
scène champètre. Café Jupin 1899 Hôtel Engler, tenu par Pélagie Engler, sa fille Aline Engler se mariera à Francis Tanguy M. Francis Tanguy, élu Maire en 1935, il décèdera sur la route de Damviller à Brandeville en 1936, son fils Maurice est né à Brandeville Café Hartmann Café Recalt Café restaurant repris par Claudine Kocsis (fille Carteret et petite fille Colet). Elle tient le café de 1978 à 2000, remet en état la salle de Bal et met en place des thé dansants. (les premiers en Meuse). |
|||||||
|
Témoignage de Madame Carteret
Claudine: « Je suis venue de la région parisienne pour ouvrir un établissement de café dans le village de mes grands-parents : Monsieur et Madame Collet Nuna. Cet établissement était fermé depuis plusieurs années et n’avait plus de licence. C’est le 1er 14 juillet 1988 que j’ai ouvert en ramenant une licence IV à ce petit village de 130 habitants. Pendant vingt ans, j’y ai travaillé en faisant un restaurant et en organisant des thés dansants avec orchestre. La clientèle appréciait, c’était alors le seul en Meuse et l’ambiance y était familiale. J’y organisais aussi des concours de belote et beaucoup d’autres repas (repas du troisième âge de Brandeville). J’ai fermé le 31 décembre 1998 et vendu le 13 juillet 2000 à deux familles de Hollandais pour qu’ils en fassent leur résidence secondaire. La licence a été vendue à la mairie de Brandeville. » Témoignage
recueilli en 2011
|
||||||
Photo Marianne Sieverding et
Jan Timmermans |
|||||||
Lettre du restaurateur hollandais des tableaux adressée à titre posthume à l'artiste brandevillois. |
Les deux tableaux peints en 1911 par Ludovic
LEJEUNE, artiste natif de Brandeville ornent la grande
salle du café, ils ont été
restaurés en 2007, à la demande des nouveaux
propiétaires par Ad Haans artiste peintre
hollandais. Le café appartient actuellement à Marianne SIEVERDING, Jan TIMMERMANS, Nanny et Wim VLIETSTRA des hollandais. |
||||||
Les
boulangers
1740 Adam LAMOLTE |
Un jeu de noms sur les boulangers de Brandeville à l'entre-deux-guerres (relevé par René Bantquin): «Il FALLET mettre le GILLET dans le CHAIDRON CARON NAVÉ plus de BOUDIN. à gauche: Laëtitia et Xavier Collen et à droite François Lodi et sa famille boulangers de 1989 à 1997 partis ensuite au Canada (Voir le site de leur boulangerie) |
Les curésLes curés logent au presbytère |
A la fenêtre M. DA COL receveur intermédiaire et devant la poste M. Holdrinet |
1894 M. Marchal facteur de Damvillers assure la
distribution du courrier, sa tournée de 24 km
(à pied) dessert Bréhéville et
Brandeville, sur le retour, il relève les boites de
Lissey et d'Ecurey avec obligation d'une pause d'une
demi-heure pour permettre aux habitants de «lire et
de répondre incontinent à la
correspondance». Vers 1900 M. Desroches succède à M. Marchal. À cette époque on écrit peu : un dizaine de lettres par jour pour les deux communes, par contre journaux, catalogues et imprimés pèsent lourd et M. Desroches n'hésitait pas à mettre à contribution… son âne. Les deux receveurs des P.T.T. (Poste, Téléphone et Télégraphe) 1911-1926 Arsène Juppin premier receveur 1926-1957 M. Richard (le bureau de poste occupe une pièce de sa maison : l'ancien château). De 1940 à 1957 M.Augustin Holdrinet assure la distribution en cas d'empêchement du titulaire. À partir de 1957 le courrier est amené par une P.A.R. (Poste Automobile Rurale), il reste un correspondant postal chargé de la distribution et de la cabine téléphonique. Le courrier passe par Dun-Sur-Meuse. En 1957 Madame Marguerite Bal est nommée correspondante locale, elle tiendra la cabine téléphonique publique jusqu'en 1973. |
M. Holdrinet M. Richard |
Les
gardes forestiers
Lucien GAUSSOT était
garde forestier à Brandeville et est enterré
à Brandeville( 1874-1934). Son fils Simon est
né à Brandeville en 1914. |
Lucien GAUSSOT |
Les instituteursLes instituteurs logent à l'école! |
Les Peintres |
||
Lejeune, Charles Antonin 1896-1924 Sculpteur sur pierre |
A
gauche : Lejeune Charles Antonin sculpteur sur pierre A droite : Lejeune, Ludovic Oncsime 1887-1912 Peintre décorateur |
Rainer Tappeser découvre Brandeville en septembre 2007 et s'installe au moulin des Aunelles |
Le Saint-NicolasVient en décembre pour le bonheur des petits et … des anciens! |
Gare de BrandevilleLe bâriment de bois, construit par les Allemands, a été vendu après guerre par les domaines à M. Hugbourg, natif de Brandeville, qui l’a démonté pour le reconstruire dans la région parisienne. |
C’est
donc la bataille de Verdun qui va amener le train
à Brandeville. En effet, elle va
littéralement rayer la ligne de la surface de la
terre entre Verdun et Bezonvaux. Par ailleurs, tout le
secteur situé au sud de Damvillers peut se
trouver pris sous le feu de l’artillerie lourde
française et devient potentiellement dangereux.
En outre, passé le coin de la colline d’Azannes,
la voie se trouve à vue directe des observateurs
français. En clair, cela signifie donc qu’il
n’est plus possible de pousser un train au-delà
de Damvillers. Cette section de voie va donc être
« abandonnée » ou du moins
réservée à un trafic
extrêmement réduit et discret. Dès lors, la logique voudrait que le gros « terminus » temporaire de la ligne soit installé à Damvillers. Ce ne sera pas le cas car le choix de Brandeville n’est pas du tout innocent. Il répond à des impératifs de protection militaire très précis. Bien qu’en principe hors de portée de l’artillerie française, il est néanmoins installé hors vues et à contrepente. Chose que n’offre pas le site de Damvillers trop exposé au milieu de sa plaine. Par ailleurs, Brandeville, au fond de sa reculée des Hauts de Meuse, est relativement à l’abri des incursions aériennes. A l’époque, il n’est pas encore vraiment question de bombardements, mais de mitraillages toujours possibles. Ce que la position du village rend plus difficile. Car il est certain que Brandeville va être survolé à de nombreuses reprises par les avions français, tant pour des réglages d’artillerie que pour rechercher les canons super lourds allemands (les fameux Max) que les poilus en front sur les hauteurs de Douaumont n’ont pas manqué de signaler pour les avoir repérés au son et par la lueur du départ des coups lorsque ces canons tirent la nuit. Ce qui est souvent le cas puisqu’ils ont nécessité de se tenir soigneusement camouflés dans la journée, du moins les jours où les conditions météo risquent de favoriser l’aviation française. N’oublions pas que pour l’époque, ces pièces sont des armes tout à fait exceptionnelles et tenues hautement secrètes. Philippe Emonet
Spécialiste des trains blindés et l’artillerie lourde sur voie ferrée (ALVF). |
Pèle-mèle |
||||
Georgette Albin |
Victor Albin |
M. Tanguy |
Marie Bantquin |
Claire Andreux et Marcelle Lequis |
Baptiste Bagage |
Colonel Ricchi |
Baptiste Bagage |